Récemment, à l’hôtel de l’industrie, se réunissait un véritable colloque qui avait pour but d’ouvrir l’opinion internationale sur le sujet de la nourriture à faible émission de carbone. La problématique de l’écologie associée à l’alimentation est entrain littéralement de prendre une ampleur très importante, au point où ce sont au total 130 chefs cuisiniers qui se sont réunis afin de discuter des conditions écologiques de la nourriture que nous agitons chaque jour.
Pourquoi cette monopolisation ?
Les problématiques liées à l’environnement sont de plus en plus intégrées dans la manière de cuisinier des restaurateurs, qui s’inspire à cet égard des nombreux voyages qu’ils effectuent un peu partout dans le monde; afin de constater par vous-même la manière simple pièce de bœuf peut avoir un impact écologique prépondérant pour la planète.
– Parmi les participants de ce mouvement on retrouve:
Qui a participé ?
- Vincent Colomb (l’ADEME)
- Marc De Nale de Demain la terre
- Bruno Parmentier conférencier
- Jérôme Kohn (CERVIA)
Aussi, c’était la première fois qu’un tel colloque était organisé et qu’il fait autant de professionnels prestigieux de l’univers culinaire – le moins que l’on puisse dire – c’est que l’événement a été correctement relayé par les médias.
Pourquoi un colloque ?
Le but de cette réunion est avant tout de trouver des solutions afin de répondre aux problématiques écologiques et environnementales qui se dressent devant nous, et l’alimentation en est l’un des en plus alarmant.
Aussi, la démarche de la cuisine à faible dose de carbone vise tout simplement à limiter les émissions de gaz à effet de serre- en optant pour une agriculture biologique éthique- qui vise à réduire les initiées mondiales de moitié à terme. C’est pour cela, qu’un certain nombre de restaurateurs prestigieux ont décidé de proposer de la cuisine du monde qui puisse être labellisé comme étant peu polluante pour la planète (Maca...)
En effet, lorsque l’on consomme des aliments il y a toujours un coût énergétique à prendre considération ; que ce soit l’utilisation d’électricité pour faire fonctionner les machines, dans le cadre du refroidissement de la viande, encore vis-à-vis du transport la nourriture, des fruits et légumes, qui peut se faire aux quatre coins de la planète par l’intermédiaire d’un bateau ou d’un avion.
D’autre part, l’avantage de ce type de colloque est avant tout de pouvoir faire évoluer les mentalités et c‘est aussi le travail quotidien qui réalise bon nombre d’associations qui sont investies corps et âmes dans ce projet qui est vraiment salutaire.